Vérin électronique.

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Je réfléchis sur ce type de réalisation (voir le fil innovations technologiques) mais je ne comprends pas le problème que vous posez. Pourriez-vous m'éclairer un peu ?

Hello Hervé,

Je ne comprends pas pourquoi tu dis "Malheureusement ils ne sont pas adaptés aux moignons longs"?

Pour ma part j'ai une désarticulation de genou droit et je suis appareillé avec un C-LEG et tout se passe très bien (enfin juste un petit bémol en position assise où les genoux ne sont pas à la même longueur).

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Morgan

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Quand vous dites 160° de flexion, comment définissez-vous cet angle ?

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Merci, c'est beaucoup plus clair comme cela avec le plan.Mais je ne vois pas où se situe l'axe de reprise sur l'emboîture. Où la géométrie du genou la touche-t-elle ? Lorsque le genou est replié sur l'arrière ou bien quand il est en extension ?
En ce qui concerne le freinage je crains qu'un système purement passif ne soit pas en mesure de résoudre le problème. Je réfléchis à un système motorisé. Certaines solutions auxquelles je pense doivent déjà être implantées dans le Genium. Ce sont les capteurs et l'informatique qui sont en mesure d'apporter une solution au problème que vous posez.

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Bonjour,
Je vois maintenant le point de contact.
Pour la descente d'un plan incliné, seule une gestion par calculateur peut résoudre le problème. L'architecture électrique pour résoudre ces questions (pente, se lever etc..) transforme les prothèses en automatisme. C'est l'avenir proche et c'est tout à fait réalisable avec quelques moyens. En fait ces prothèses seront plus adaptées à des personnes d'un certain âge, alors qu'aujourd'hui, si j'ai bien compris, on demande à l'utilisateurs de réaliser des exploits sportifs pour bénéficier d'une prothèse à peu près correcte comme le Cleg ! Pour ma part, je verrais le contraire, la personne pourrait bénéficier d'une prothèse 'évoluée' quand sa mobilité serait fortement contrainte.

C'est bien ce qui semblerait le plus logique !

Hélas, le mot "logique" est inconnu de ceux qui décident à notre place ... Ce qui fait que nombre de personnes d'un certain âge se retrouvent clouées dans leur fauteuil car elles ne peuvent satisfaire aux exigences demandées pour pouvoir chausser une prothèse nettement plus sécurisante.

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En fait, ce que vous décrivez correspond tout à fait à ce que j'ai imaginé pour la programmation informatique du genou. Des capteurs sont placés dans la prothèse elle-même pour 'sentir' son comportement ( moment d'inertie, rotation etc..) mais aussi en amont au niveau du fémur pour 'sentir' ce que veut faire l'utilisateur ( rotation de la cuisse sur deux axes) . Le calculateur est programmé pour interpréter la demande de l'utilisateur et gérer le vérin en tenant compte aussi des informations renvoyées par le capteur de la prothèse. Il y a simplement un an une telle architecture aurait eu un prix astronomique, aujourd'hui avec des composants électroniques récents, c'est tout çà fait réalisable à un prix très abordable.

Bonjour jpm et les autres.
Suite à votre étude de genou prothétique, je pense que le piston vérin peut être remplacé par un capteur linéaire de position inductif, on fait l'économie des 2 capteurs de flexion maxi et mini et la décomposition du signal numérique est reconnu plus facilement par le microprocesseur. Bon c'est très technique, mais l'amélioration passe par là.
mic38

En fait dans l'architecture que j'ai prévue , je ne fais pas de mesure linéaire sur l'actuateur. En fait pour tout dire (sans rien dire ... !), c'est complètement différent dans l'approche ...