fiabilité du C-leg
Page 1 sur 1
fiabilité du C-leg
Bonjour,
Je suis amputé fémoral (gritti) et j'essaie en ce moment un C-leg (seconde génération). Je fais beaucoup de randonnées en montagne (jusqu'à 7 heures de marche en terrain accidenté) et j'aimerai savoir si quelqu'un (ou quelqu'une) l'utilise dans les mêmes circonstances...
Quelle est la fiabilité réelle du genou (type de pannes) et comment cela fonctionne en cas de problème (d'après O. Bock, il ne plie plus qu'à 4 ou 5 degrés) ? Quelles sont vos impressions et vos expériences en la matière.
Merci d'avance pour vos réponses
Jean-Paul Gangloff
Je suis amputé fémoral (gritti) et j'essaie en ce moment un C-leg (seconde génération). Je fais beaucoup de randonnées en montagne (jusqu'à 7 heures de marche en terrain accidenté) et j'aimerai savoir si quelqu'un (ou quelqu'une) l'utilise dans les mêmes circonstances...
Quelle est la fiabilité réelle du genou (type de pannes) et comment cela fonctionne en cas de problème (d'après O. Bock, il ne plie plus qu'à 4 ou 5 degrés) ? Quelles sont vos impressions et vos expériences en la matière.
Merci d'avance pour vos réponses
Jean-Paul Gangloff
Invité- Invité
Re: fiabilité du C-leg
Salut Jean-Paul,
Bien qu'utilisant ma prothèse moins intensément que toi (3 ou 4 km maxi), je pense que les 2 facteurs qui limitent le C-leg en randonnée sont:
- son autonomie de 30-35 heures (il paraît que les C-leg seconde génération sont équipés d'accus plus performants). Il y a néanmoins la possibilité de le recharger à partir d'une batterie 12 Volts, soit en utilisant l'adaptateur allume-cigare Otto Bock commercialisé 140 € ( ), soit en achetant un transformateur 12V/220V vendu 60 € en magasin de bricolage ( ).
- l'échauffement du système hydraulique lors des descentes. Arrivé à une certaine température, le vibreur nous alerte qu'il faut faire une pause pour laisser refroidir le genou. "J'ai réussi" à le faire vibrer en descendant une pente de 15-20° longue de 500 mètres; sachant que je fais 65 kg (plus on est lourd et plus l'huile s'échauffe vite).
Lorsque l'accu est vide, le genou ne permet plus la flexion pendant la phase pendulaire mais garde la résistance élevée de la phase d'appui; on peut donc continuer à descendre les pentes et les escaliers sans problème.
A ce jour, je n'ai pas eu de panne avec mon C-leg (je l'ai depuis Juillet 2005)
Bien qu'utilisant ma prothèse moins intensément que toi (3 ou 4 km maxi), je pense que les 2 facteurs qui limitent le C-leg en randonnée sont:
- son autonomie de 30-35 heures (il paraît que les C-leg seconde génération sont équipés d'accus plus performants). Il y a néanmoins la possibilité de le recharger à partir d'une batterie 12 Volts, soit en utilisant l'adaptateur allume-cigare Otto Bock commercialisé 140 € ( ), soit en achetant un transformateur 12V/220V vendu 60 € en magasin de bricolage ( ).
- l'échauffement du système hydraulique lors des descentes. Arrivé à une certaine température, le vibreur nous alerte qu'il faut faire une pause pour laisser refroidir le genou. "J'ai réussi" à le faire vibrer en descendant une pente de 15-20° longue de 500 mètres; sachant que je fais 65 kg (plus on est lourd et plus l'huile s'échauffe vite).
Lorsque l'accu est vide, le genou ne permet plus la flexion pendant la phase pendulaire mais garde la résistance élevée de la phase d'appui; on peut donc continuer à descendre les pentes et les escaliers sans problème.
A ce jour, je n'ai pas eu de panne avec mon C-leg (je l'ai depuis Juillet 2005)
J-J- Actif
- Nombre de messages : 35
Age : 42
Localisation : Figeac (46)
Type d'amputation : fémorale gauche; manchon silicone réalisé sur moulage, genou C-leg 4, pied Freedom Sierra.
Date d'inscription : 28/03/2006
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum