Bonjour,
Fin avril 2014, j'ai été victime d'une infection majeure - la police, envoyée à mon domicile, déclare d'ailleurs m'avoir trouvé en état de mort apparente ... -, et dont l'origine n'a jamais été clairement établie, malgré des suspiscions nettes d'infection par un mal perforant plantaire (diabète 2) non détecté. Après moult péripéties, dont 294 jours d'hôpital et de revalidation en hôpital universitaire, je me retrouve actuellement :
> avec le genou droit en flexum de l'ordre de 20 à 25°, qui n'évolue quasi pas malgré les efforts du kiné (et les miens ...) ; la cheville droite est parfaitement fonctionnelle, et le genou n'est pas douloureiux
> à la cheville gauche, la maléole extérieure a été enlevée pour cause d'infection (mais pas de trace dans mon dossier médical !) : cette cheville est bloquée et ne bouge que de quelques degrés, tandis que la cicatrice, le "vide" laissé par la maléole est douloureux après seulement une petite demi-heure de marche (à l'aide d'une canne anglaise - en intérieur, je marche sans canne)
Que faire ? En revalidation, les médecins m'ont dit que la douleur de la cicatrice de la maléole ne disparaîtrait sans doute pas, réponse dont je ne peux me satisfaire puisqu'à certains moments, la douleur est très intense et remonte jusqu'au genou ; quant au genou droit, il se pourrait que les tendons, en forte rétraction, finissent par revenir à une position plus normale, peut-être au prix d'une intervention chirurgicale, et en tout cas après beaucoup de temps en kiné si on n'opère pas.
En ce qui concerne la jambe gauche, une de mes connaissances, amputée à mi-cuisses pour des problèmes vasculaires, me conseille de demander l'amputation en haut du tibia ou au genou, il me dit que "ce n'est pas si terrible" ...
J'en suis là ... Quelqu'un a-t-il un avis sur ces deux affections et sur l'opportunité de demander au chir' d'amputer ? - Merci d'avance !
Michel.
Bruxelles